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L'amour ce n'est pas uniquement des paroles;
ce n'est pas non plus les baisers.
L'amour, c'est un sentiment profond dont le coeur est le symbole.
Quand on s'aime, on offre sa tendresse, sa joie de vivre et
sa bonne humeur, avec plaisir;
on se donne, soi, tout entier, dans des gestes pleins d'allégresse.
Le bonheur de l'amour, c'est de pouvoir tout aimer,
aussi bien le corps que l'esprit, les idées, les différences;
Quand on arrive à oublier les défauts, à se baser sur les qualités,
on a vraiment trouvé le chemin de l'amour,
dans la pureté et la liberté.
Aimer, c'est être capable de pardonner; c'est dire à l'autre qu'on l'aime, sans jamais se lasser; c'est être capable de retenir sa langue afin de ne pas offenser; c'est reconnaître que l'on peut se tromper.
Un jour, pas si lointain, un paysan se présenta à la porte d'un couvent
et frappa énergiquement. Quand le frère portier ouvrit la lourde porte de chêne, le paysan lui montra, souriant, une magnifique grappe de raisin.
"Cher frère portier, dit le paysan, sais-tu à qui je veux offrir cette grappe de raisin, la plus belle de ma vigne ?"
Sans doute au Père Abbé ou à quelque moine du couvent !"
"Non, à toi !"
"A moi ?» Le frère portier en devint tout rouge de joie.
"C'est vraiment à moi que tu veux la donner ?"
"Bien sûr, parce que tu m'as toujours reçu avec amitié et tu m'as aidé quand je te le demandais. Je voudrais que cette grappe de raisin t'apporte un peu de joie".
Et la joie simple et franche qu'il voyait sur le visage du frère portier l'illuminait lui aussi tout autant.
Le frère portier posa la grappe bien en vue et passa la matinée à l'admirer. C'était vraiment une grappe étonnante. Et puis, à un moment donné, lui vint une idée : Pourquoi ne pas porter cette grappe au Père Abbé, pour lui donner un peu de joie à lui aussi ?"
Il prit la grappe et l'apporta au Père Abbé.
Celui-ci fut sincèrement heureux.
Mais il se souvint qu'il y avait dans le couvent un vieux frère malade et il pensa : "Je vais lui apporter la grappe.
Ca lui donnera un peu de réconfort. Ainsi la grappe émigra de nouveau.
Mais elle ne resta pas longtemps dans la cellule du frère malade. Celui-ci, en effet, pensa que la grappe ferait aussi la joie du frère cuisinier, qui passait ses journées à suer derrière ses marmites, et il la lui fit parvenir.
Mais le frère cuisinier la remit au frère sacristain, afin qu'il ait, lui aussi, un peu de joie. Ce dernier la porta à un autre. Et ainsi de suite, jusqu'à ce que la grappe revienne au frère portier, "pour lui donner un peu de joie". Ainsi se referma le cercle. Un cercle de joie
N'attends pas qu'un autre commence.
C'est à toi de commencer aujourd'hui un cercle de joie. Il suffit souvent d'une toute petite étincelle pour faire exploser une énorme charge.
Il suffit d'une étincelle de bonté pour que le monde commence à changer.
L'amour est l'unique trésor qui se multiplie quand on le divise,
c'est l'unique cadeau qui augmente au fur et à mesure qu'on en soustrait une part. C'est l'unique entreprise où l'on gagne d'autant plus que l'on dépense davantage. Cet amour, partage-le, offre-le, répands-le aux quatre vents, vide tes poches, secoue bien la corbeille, verse le verre... et demain tu en auras plus qu'aujourd'hui.
ATTENTION ! Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse. L’O.M.B. (Organisation Mondiale du Bien-être) prévoit que des milliards de personnes seront contaminées dans les dix ans à venir. Voici les symptômes de cette terrible maladie : 1- Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnement du passé. 2- Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits. 3- Perte complète de la capacité de se faire du souci (cela représente l’un des symptômes les plus graves). 4- Plaisir constant d’apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne une disparition de l’habitude de vouloir changer les autres. 5- Désir intense de se transformer soi-même pour développer ses potentiels de santé, de créativités et d’amour. 6- Attaques répétées de sourires, ce sourire qui dit " merci " et donne le sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit. 7- Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté. Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse. Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux chimiques peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes, mais ne peuvent s’opposer à la progression inéluctable du mal. Aucun vaccin anti-bonheur n’existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte totale de la peur de mourir qui est le pilier central des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels que grèves de l’esprit belliqueux, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, cercles de partages et de guérison, crises collectives de fou rire.
L
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e petit Didier déménage à la campagne et achète un âne à un vieux
fermier pour 100 Euros.
Le fermier doit livrer l'âne le lendemain mais justement, le lendemain...
- Désolé fiston, mais j'ai une mauvaise nouvelle: l'âne est mort.
- Bien alors, rendez-moi mon argent.
- Je ne peux pas faire ça. Je l'ai déjà tout dépensé...
- OK alors, vous n'avez qu'à m'apporter l'âne.
- Qu'est-ce que tu vas faire avec?
- Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola.
- Tu ne peux pas faire tirer un âne mort!
- Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu'il est mort.
Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment refuser.
Il amène donc l'âne au petit Didier.
Un mois plus tard, il revient voir le petit Didier :
- Qu'est devenu mon âne mort ?
- Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 500 billets à 2 euros: ça m'a fait
une recette de 1.000 ?
- Et personne ne s'est plaint ?
- Seulement le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros.
... Didier a vieilli et est devenu ministre des finances... et, pour
gagner plus, il est toujours entouré d'ânes...
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